« La vieillesse (c'est comme ça que les gens l'appellent) peut être le temps de notre bonheur.
L'animal est mort où presque. Ce qui reste est l'homme et l'âme.
Démocrite d’Abdère, se fit retiré les yeux pour pouvoir penser ; le temps a été mon Démocrite.
Cette ombre vient doucement, indolore, coule sur une pente douce et se ressemble à l'éternité.
Mes amis n'ont plus de visage, les femmes sont redevenues ce qu'elles étaient dans mon enfance, les coins des rues peuvent être autres et plus de lettres dans les pages de livres...
Tous ces choses là, devraient me faire peur, mais, je retrouve dedans une certaine douceur, comme un retour aux origines. »
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